s
9 Prévention
9.1 Enfance et obésité
9.2 Politiques de prévention
10 Traitements
10.1 Régimes, activité physique, et mode de vie
10.2 Thérapie
10.3 Médicamenteux
10.4 Chirurgie bariatrique
11 Notes et références
12 Voir aussi
12.1 Bibliographie
12.2 Filmographie
12.3 Articles connexes
12.4 Liens externes
Définition[modifier | modifier le code]
Les formes cliniques sont nombreuses, avec des mécanismes physiopathologiques et des conséquences pathologiques différents, il est donc plus judicieux de parler « des obésités ». Pour évaluer ces obésités il convient d'analyser deux paramètres qui influent sur les complications de la maladie d'une manière indépendante l'un de l'autre : l'excès de masse grasse, et la répartition du tissu adipeux.
Histoire des représentations de l'obésité[modifier | modifier le code]
Le lien entre obésité et santé est évoqué par ce tableau (le voleur) de 1804, peint par le peintre Georg Emanuel Opitz (1775–1841) - Gouache sur papier
L'histoire des représentations de l'obésité est décrite par l'historien Georges Vigarello dans son ouvrage Les Métamorphoses du gras. Histoire de l'obésité du Moyen Âge au xxe siècle en six parties.
La première partie sur « le glouton médiéval » rappelle qu'au Haut Moyen Âge et au Moyen Âge central, époques marquées par les famines et les disettes, l'homme gros jouit d'un prestige car il représente selon les mentalités de l'époque un chevalier vigoureux, un seigneur opulent dont la santé est assurée par l'accès à une surabondance de nourriture. La femme quant à elle doit rester gracile qui est associée à une certaine vulnérabilité. Les chroniques et les rumeurs ne valorisent pas le glouton quant la forte corpulence dégénère en obésité : Berthe, la fille de Charlemagne, aurait été répudiée pour sa grosseur ; Guillaume le Conquérant est mort de graisses « qui auraient fondu à l’intérieur et l’auraient noyé » ;
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